« Nous ne pourrons pas échouer. Aucune excuse ne sera tolérée pour ne pas respecter cet engagement, même le manque de travailleurs dans l’administration publique devra être résolu d’ici là », a averti Álvaro Mendonça e Moura, s’exprimant au nom des cinq confédérations patronales ayant signé le protocole.
Le président de la CAP a salué la définition dans l’accord d’objectifs, de flux procéduraux et d’obligations des parties, sans « aucune marge de doute », considérant cela comme « un tournant par rapport à ce qui a moins bien fonctionné jusqu’à présent ».
Selon le protocole, auquel Lusa a eu accès, l’obtention de visas « devra se faire dans les 20 jours à compter de la date d’accueil du demandeur au poste consulaire », à condition que soient respectées les exigences légales prévues, notamment l’existence d’un contrat de travail, d’une assurance santé et de voyage, entre autres.
Une version initiale du document prévoyait que les associations d’entreprises dont le chiffre d’affaires de leurs membres était égal ou supérieur à 250 millions d’euros puissent adhérer au protocole, mais ce montant a été réduit à 200 millions d’euros dans l’accord signé aujourd’hui au ministère des Affaires étrangères, à Lisbonne.