Selon l’organisation, à sa 7ème édition, le LAW, qui regroupe « plus de 250 artistes, 50 lieux [tous avec entrée libre] et 80 événements gratuits », « continue de s’affirmer comme une plateforme indépendante, inclusive et ouverte au public ».
Cette année, il y aura pour la première fois une interprétation en Langue des Signes Portugaise (LGP) lors des visites publiques, et des parcours curatoriaux définis par des artistes, commissaires et collectionneurs sont proposés, « offrant de nouvelles perspectives sur la scène artistique lisboète ».
L’édition qui commence jeudi marque également l’entrée de nouveaux espaces dans le circuit du LAW, « élargissant sa portée et sa diversité », comme la Fondation Arpad Szenes – Vieira da Silva, le Musée d’Art Contemporain Armando Martins et la Fondation PLMJ.
Parmi les points forts du 7ème LAW figurent les expositions de la photographe franco-algérienne Zineb Sedira au Centre d’Art Moderne de la Fondation Gulbenkian, de l’artiste conceptuel gallois Cerith Wyn Evans au Musée d’Art, d’Architecture et de Technologie (MAAT), de l’artiste suisse Heidi Bucher à la galerie Jahn und Jahn, de la réalisatrice et artiste ouzbèke Saodat Ismailova à la Kunsthalle Lissabon, du sculpteur portugais Rui Chafes à la Galerie Filomena Soares, et de l’artiste portugais Nuno Nunes-Ferreira à la Balcony Contemporary Art Gallery.
Dans cette édition, l’initiative maintient la mission pour laquelle elle a été créée : « Garantir que le Lisbon Art Weekend reste un accès gratuit, accessible et de qualité à l’art contemporain à Lisbonne ».
L’organisation du LAW, qui est une organisation à but non lucratif née en 2019, révèle qu’elle entend « créer un espace physique permanent qui fonctionne comme lieu de convergence et plateforme de programmation tout au long de l’année ».