Homme qui a envahi une maison et agressé une famille à Óbidos accusé par le MP

Homme qui a envahi une maison et agressé une famille à Óbidos accusé par le MP

Le Ministère Public (MP) a accusé un citoyen étranger, qui a envahi une maison à Óbidos et agressé une famille, provoquant la mort d’un homme de 72 ans, de plusieurs crimes, y compris homicide qualifié.

« Le Ministère Public du DIAP de Leiria a porté accusation contre un prévenu pour la commission d’un crime d’homicide qualifié, deux d’homicide qualifié sous forme de tentative, un de détention d’arme prohibée et un autre de violation de domicile », indique une note publiée ce mercredi par la Procurature de la République de la Comarca de Leiria.

Les faits se sont produits dans la nuit du 21 mars 2025, dans la municipalité d’Óbidos, lorsque « le prévenu est entré à l’intérieur des résidences des victimes et les a agressées violemment, une conduite qui a entraîné la mort de l’une d’elles et de graves blessures chez deux autres ».

Il convient de souligner que, le 21 mars dernier, la Police Judiciaire (PJ) a informé que, avec la collaboration étroite de la Garde Nationale Républicaine (GNR), un citoyen étranger a été arrêté pour la commission d’un crime d’homicide qualifié, de deux crimes d’homicide qualifié sous forme de tentative et d’un crime de détention d’une arme prohibée.

L’homme a été pris en flagrant délit par la GNR et le crime s’est produit « au domicile des victimes, où une victime mortelle a été constatée, un homme de 72 ans, ainsi que deux en état grave, une femme de 69 ans, épouse de la victime mortelle, et leur fils de 30 ans ».

Selon la PJ, « les victimes connaissaient l’agresseur », un homme de 32 ans. Tous « travaillaient ensemble depuis environ quatre ans dans des travaux agricoles dans la région d’Óbidos, raison pour laquelle des désaccords seraient survenus ».

L’alerte des crimes a été donnée par une femme de 30 ans, qui vivait également dans la maison et qui n’a subi aucune blessure.

Après avoir été entendu par le Tribunal des Caldas da Rainha, l’homme a été « soumis à la mesure de coercition de détention préventive ».