La troisième édition du Vale Perdido, annoncée aujourd’hui, proposera « dix initiatives plurielles » de « musique libre de contraintes formelles, éclectique et créative », à écouter du 10 au 15 novembre dans des lieux tels que le B.Leza, l’église St. George et le théâtre municipal São Luiz.
Outre le retour du musicien américain Bonnie Prince Billy au Portugal, dont le concert à Lisbonne est déjà complet, le Vale Perdido propose la folk de l’artiste visuelle et chanteuse britannique Joanne Robertson.
Le programme met également en avant quelques noms de la nouvelle musique de Guinée-Bissau, notamment Badju di Tina, en collaboration avec des membres des groupes Bambaram et Kimbum, Benjamim Furtado et la DJ Carin.
Arianna Casellas Y Kauê, un duo vénézuélien-brésilien formé à Porto, et le duo ukrainien de voix et synthétiseurs d’Adriana-Yaroslava Saienko et Heinali, rejoignent également le Vale Perdido.
Le festival accueille pour la première fois au Portugal les Ancient Indigenous Africans, « un duo tanzanien qui fusionne musique électronique avec des langages vocaux ancestraux ».
L’artiste multidisciplinaire Inês Tartaruga Água et le musicien électronique Van Der complètent l’affiche.
Le Vale Perdido, qui a eu des éditions en 2024 et 2023 avec des performances toujours dans « des lieux singuliers de Lisbonne », est programmé par Sérgio Hydalgo, Joaquim Quadros et Gustavo Blanco.