Marcelo Rebelo de Sousa, s’exprimant à la sortie d’une conférence sur le 25 novembre 1975, à la Fondation Calouste Gulbenkian, à Lisbonne, n’a pas commenté concrètement les contacts en cours ni les positions des deux parties, l’Ukraine et la Russie, mais a mentionné que « plusieurs processus ont lieu simultanément ».
« Il y a des contacts entre plusieurs États, il y a des contacts qui impliquent l’Union européenne, qui sont également de nombreux États. Et tout se déroule à grande vitesse. Dans ces moments-là, j’aime juste rappeler des principes », a-t-il ajouté.
Le chef de l’État a ensuite réitéré qu’il est nécessaire d’avoir « une paix qui soit durable, qui respecte des principes internationaux fondamentaux ».
Selon le Président de la République, « le problème est très simple : si ce qui est obtenu ne respecte pas certains valeurs et principes, probablement ce n’est pas une paix durable ».
« Tout doit être fait pour la paix, mais pas de telle manière que, pour obtenir un résultat très immédiat, très immédiat, très immédiat, on crée un problème très grave, très grave, très grave, dans un délai pas très long », a averti Marcelo Rebelo de Sousa.