Le procès se déroule à huis clos, c’est-à-dire sans la présence du public et des médias, car il s’agit d’un crime portant atteinte à la liberté et à l’autodétermination sexuelle.
L’accusé est inculpé de viol et de coercition, tous deux aggravés, survenus en 2020 au domicile de sa belle-mère, à Macinhata do Vouga, dans la municipalité d’Águeda.
Selon l’accusation du ministère public (MP), le viol a eu lieu le 20 février, à un moment où seuls l’accusé, la victime et cinq mineurs qui dormaient dans leur chambre respectif étaient présents dans la résidence.
D’après l’enquête, l’accusé a entraîné l’adolescente dans la salle de bain et a verrouillé la porte. Ensuite, il l’a agressée et lui a arraché ses vêtements, la forçant à avoir des relations sexuelles contre sa volonté.
Le MP affirme également que l’accusé a ordonné à la victime de ne le dire à personne, la menaçant de mort si elle le faisait.
La lecture du verdict est prévue pour le 9 décembre.
