Les paiements en retard des entités publiques ont atteint 627,8 millions d’euros jusqu’en mai, soit une augmentation de 77,5 millions d’euros par rapport à la même période de 2024, selon la synthèse d’exécution budgétaire.
« À la fin du mois de mai, les paiements en retard des entités publiques se sont élevés à 627,8 millions d’euros, ce qui représente une augmentation de 77,5 millions d’euros par rapport à la période homologuée et une augmentation de 142,3 millions d’euros par rapport au mois précédent », peut-on lire dans le document de la Direction Générale du Budget.
L’augmentation dans le secteur de la santé (168,1 millions d’euros) a influencé l’évolution sur un an, partiellement compensée notamment par la baisse dans l’Administration Centrale, hors les entités du sous-secteur de la santé (-75,7 millions d’euros) et dans l’Administration Locale (-22,5 millions d’euros).
Quant à l’évolution mensuelle, la contribution la plus importante provenait du secteur de la santé (161,9 millions d’euros), « atténuée par la diminution dans l’Administration Locale (-16,1 millions d’euros) ».