Selon la synthèse de l’exécution budgétaire, le montant total des recettes fiscales perçues par le sous-secteur de l’État au cours des deux premiers mois de 2025 représente une augmentation de 1.353,3 millions d’euros (16,3 %) par rapport à la même période de l’année précédente.
Selon la DGO, la hausse par rapport à l’année précédente a été de 6,1 % pour les impôts directs, ce qui s’explique par « l’évolution positive tant des recettes de l’IRS, de 127,9 millions d’euros (4,1 %), que des recettes de l’IRC, de 72,2 millions d’euros (33,2 %) ».
En ce qui concerne les impôts indirects, l’augmentation a été de 23,1 % (inférieure aux 25,7 % enregistrés en janvier), principalement en raison du comportement de la TVA (qui a progressé de 26,7 % ou 966,7 millions d’euros) et de l’impôt sur les produits pétroliers (ISP), qui a enregistré une hausse de 16,5 % (soit 890 millions d’euros de plus) par rapport à la valeur comptabilisée en février 2024.
