Dans son rapport, BoA indique que l’augmentation annuelle des bénéfices est le fruit de plusieurs facteurs, tels que la réduction du coût des dépôts, l’augmentation des activités sur les marchés mondiaux, ainsi que la revalorisation des actifs à taux fixe, bien que compensée par les faibles taux d’intérêt.
La banque a augmenté ses provisions à 1,5 milliard de dollars, un montant presque identique à celui de la fin de 2024 et légèrement supérieur aux 1,3 milliard de dollars enregistrés au premier trimestre de la même année.
Les dépenses non liées aux intérêts se sont élevées à 17,8 milliards de dollars (15,707 milliards d’euros), soit une hausse de 3 % par rapport à l’année précédente, en raison de l’augmentation des dépenses et des investissements dans la technologie, les opérations et l’image de marque.
Cependant, cela a été compensé par l’absence de dépenses liées à l’évaluation spéciale de la FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation), l’agence gouvernementale indépendante des États-Unis qui assure les dépôts bancaires, contrairement au premier trimestre de 2024.
