Selon le résumé de septembre publié par l’Entité Budgétaire, anciennement appelée la Direction Générale du Budget (DGO), une amélioration de 610,8 millions d’euros a été observée par rapport à la même période de l’année précédente, après que l’augmentation des recettes (6,6%) ait dépassé celle des dépenses (6,3%).
Du côté des recettes, on note l’augmentation des recettes fiscales des Administrations Publiques, qui s’appuie sur l’évolution des recettes de l’État, avec des contributions essentielles de la TVA (8,7%) et de l’IRS (7,1%), « avec également des augmentations significatives dans l’ISP (12,3%) et dans l’Impôt sur le Tabac (10%), tandis que l’IRC a montré une variation négative (-4,3%) ».
Quant aux dépenses, les frais de personnel se distinguent, ayant augmenté de 8,7%, principalement en raison des « mesures de valorisation salariale des travailleurs de la fonction publique », a expliqué l’EO.
Le solde des administrations publiques publié mensuellement par l’Entité Budgétaire est en comptabilité publique, c’est-à-dire qu’il fonctionne dans une optique de trésorerie (entrées et sorties de fonds), ce qui diffère de la comptabilité nationale (optique d’engagement), qui est pertinente pour les règles européennes.
