Le PRR a payé 48 millions d’euros de plus et les entreprises maintiennent le leadership.

Selon le dernier rapport de suivi, avec des données jusqu’au 20 août, 8,758 milliards d’euros ont été payés, soit 48 millions d’euros de plus par rapport à la semaine précédente.

 

Ce total de paiements correspond à 39 % de l’allocation et de la valeur contractée et à 38 % du montant approuvé.

Les plus grands montants ont été reçus par les entreprises (3,202 milliards d’euros), les entités publiques (1,829 milliard d’euros) et les municipalités ainsi que les zones métropolitaines (1,132 milliard d’euros).

Viennent ensuite les entreprises publiques (875 millions d’euros), les écoles (593 millions d’euros), les institutions d’enseignement supérieur (353 millions d’euros) et les institutions de l’économie solidaire et sociale (290 millions d’euros).

En bas du tableau se trouvent les ménages (262 millions d’euros) et les institutions du système scientifique et technologique (222 millions d’euros).

D’autre part, les approbations de projets s’élèvent à 22,486 milliards d’euros, ce qui équivaut à 101 % de l’allocation et de la valeur contractée.

En tête figurent les entreprises (6,361 milliards d’euros), les entités publiques (5,156 milliards d’euros) et les municipalités et zones métropolitaines (4,448 milliards d’euros).

Se distinguent également les entreprises publiques (2,930 milliards d’euros) et les écoles (1,038 milliard d’euros).

Viennent ensuite les institutions d’enseignement supérieur (844 millions d’euros), les institutions de l’économie solidaire et sociale (734 millions d’euros), les institutions du système scientifique et technologique (659 millions d’euros) et, enfin, les ménages (317 millions d’euros).

Jusqu’au 20 août, le PRR a reçu 392 529 candidatures, dont 329 678 ont été analysées.

Les candidatures approuvées ont atteint 253 191, soit 691 de plus que le nombre précédemment rapporté.

Le PRR, qui a une période d’exécution jusqu’en 2026, vise à mettre en œuvre un ensemble de réformes et d’investissements pour la reprise de la croissance économique.

En plus de réparer les dommages causés par la covid-19, ce plan a pour but de soutenir les investissements et de générer de l’emploi.