Ce régime, créé par un décret-loi, doit être appliqué « seulement et exclusivement » dans les situations où la continuité des urgences n’est pas assurée par manque de ressources humaines, a précisé Ana Paula Martins lors de la conférence de presse présentant les conclusions du Conseil des ministres de mercredi.
Selon la ministre, il est prévu que deux ou plusieurs unités locales de santé (ULS) puissent se regrouper dans une certaine région pour centraliser le service d’urgence.
