De plus, l’agresseur présumé, arrêté mardi et présenté à un premier interrogatoire judiciaire mercredi, s’est vu interdire de contacter ses parents par quelque moyen que ce soit, a indiqué cette force de police dans un communiqué.
Au cours de l’enquête pour violence domestique, les militaires de la GNR ont établi que l’homme maltraitait physiquement et psychologiquement ses parents par des menaces, des insultes et des comportements d’intimidation, créant un climat de peur et de soumission chez les victimes, a-t-il souligné.
Selon la GNR, le suspect, à l’aide de menaces de mort, exigeait de l’argent à ses parents, ce qui les a poussés à quitter la maison pour échapper aux agressions et menaces.
Le détenu a déjà des antécédents criminels pour des crimes de même nature, a-t-il ajouté.
« La GNR réaffirme son engagement dans la lutte contre la violence domestique, soulignant que ce type de crime constitue une grave violation des Droits de l’Homme et appelant toutes les victimes et citoyens à signaler des situations semblables, via le numéro d’urgence 112 ou directement dans les postes de police de leurs zones de résidence », a-t-il souligné.
La violence domestique est un crime public et signaler est une responsabilité collective, a-t-il rappelé.