« Dans les eaux intérieures maritimes et non maritimes du fleuve Sado, ainsi que dans leurs lits et rives appartenant au domaine public hydraulique, sous la juridiction de la Capitainerie du port de Setúbal, la capture, le maintien à bord, le débarquement, le transport, la détention et la commercialisation de la palourde japonaise (‘Venerupis philippinarum’) sont interdits », peut-on lire dans un arrêté de la Direction générale des ressources naturelles, de la sécurité et des services maritimes (DGRM).
Ce décret, qui entrera en vigueur vendredi, prend en compte la faible abondance de la ressource et la structure d’âge de la palourde japonaise dans l’estuaire du Sado.
La DGRM est un service central de l’administration directe de l’État, disposant d’une autonomie administrative, et a pour objectif le développement de la sécurité et des services maritimes, l’exécution des politiques de pêche et la préservation des ressources.