Parmi les projets répertoriés figure l’interconnexion électrique Beariz–Fontefría–Ponte de Lima–Vila Nova de Famalicão, ainsi que l’infrastructure interne portugaise d’hydrogène, l’interconnecteur Portugal–Espagne et le segment transfrontalier connu sous le nom de BarMar.
Le ministère de l’Environnement et de l’Énergie considère l’instrument européen comme « essentiel pour orienter l’investissement dans des infrastructures énergétiques critiques, en identifiant les projets considérés comme vitaux pour la sécurité énergétique, l’intégration du marché intérieur et l’atteinte des objectifs climatiques de l’Union européenne ».
L’inclusion du Portugal « réaffirme le pays comme un partenaire fiable, avec des propositions techniquement solides, écologiquement robustes et pleinement alignées avec les priorités de la transition énergétique européenne », peut-on lire dans un communiqué.
La ministre de l’Environnement et de l’Énergie, Maria da Graça Carvalho, citée dans le communiqué, souligne que « ces résultats démontrent la qualité exceptionnelle du travail technique réalisé par les équipes nationales, qui ont présenté des projets solides, mûrs et alignés avec les priorités de l’Union européenne ».
