À 15h00 à Lisbonne, le Dow Jones perdait 2,58 %, chutant de plus de mille points depuis l’ouverture et passant sous la barre des 40 000 points (39 499,53 points), tandis que le Nasdaq, dans le secteur technologique, baissait de 2,85 % pour atteindre 16 078,44 points.
L’indice élargi S&P 500 affichait des pertes intermédiaires entre ces deux indices, en reculant de 2,64 % pour se situer à 5 253,87 points.
Au même moment, les bourses européennes aggravent leurs pertes, Milan perdant 5,91 %, Madrid 5,22 %, Paris et Londres 3,96 % et Francfort 3,94 %.
Le principal indice portugais, le PSI, reculait de 4,06 % pour atteindre 6 684 points, avec ses 15 titres dans le rouge.
Le baril de brut pour livraison en juin reculait de plus de cinq dollars depuis l’ouverture, pour atteindre 64,78 dollars, tandis que l’euro se négociait à 1,0998 dollars.
Jeudi, les bourses européennes ont clôturé en baisse, descendant d’environ 3 %, mais la chute était beaucoup moins prononcée que celle enregistrée à Wall Street, où les principaux indices ont connu leur pire journée depuis 2020, avec de fortes pertes allant de 4 % à 6 %.
Le Dow Jones a terminé en recul de 3,98 % pour s’établir à 40 545,93 points, en comparaison avec le maximum enregistré depuis la création de l’indice en 1896, de 45 014,04 points, le 4 décembre 2024.
Le Nasdaq, indice des valeurs technologiques, a clôturé en baisse de 5,97 % pour atteindre 16 550,61 points, contre le maximum de tous les temps de 20 173,89 points constaté le 16 décembre 2024.
Le marché reste impacté par l’annonce de tarifs réciproques de la part du Président des États-Unis, Donald Trump, qui s’est toutefois dit prêt à négocier si les offres sont « phénoménales ».
