Le montant total correspond à 44 % de l’allocation et de la valeur contractée et à 42 % de celle approuvée, selon le dernier rapport de suivi.
Le taux d’exécution du plan reste à 47 %.
Les plus gros montants perçus concernent les entreprises (3 507 millions d’euros), les entités publiques (1 995 millions d’euros) et les municipalités et les zones métropolitaines (1 376 millions d’euros).
Les entreprises publiques (975 millions d’euros) et les écoles (605 millions d’euros) complètent le « top cinq ».
Suivent les institutions d’enseignement supérieur (400 millions d’euros), les institutions de l’économie solidaire et sociale (333 millions d’euros), les familles (284 millions d’euros) et les institutions du système scientifique et technologique (241 millions d’euros).
Les approbations de projets, quant à elles, s’élèvent à 23 126 millions d’euros, au-dessus des 23 094 millions d’euros précédemment rapportés.
Cette somme correspond à 104 % de l’allocation et de la valeur contractée.
Se distinguent les entreprises (6 901 millions d’euros), les entités publiques (4 882 millions d’euros), les municipalités et zones métropolitaines (4 533 millions d’euros) et les entreprises publiques (3 095 millions d’euros).
Suivent les écoles (1 038 millions d’euros), les institutions d’enseignement supérieur (844 millions d’euros), les institutions de l’économie solidaire et sociale (823 millions d’euros), les institutions du système scientifique et technologique (660 millions d’euros) et les familles (349 millions d’euros).
Jusqu’à mercredi, le PRR a reçu 412 187 candidatures, dont 358 550 ont été analysées.
Les candidatures approuvées sont de 273 968, soit 31 de moins que la semaine précédente.
Le PRR, dont la période d’exécution s’étend jusqu’en 2026, vise à mettre en œuvre un ensemble de réformes et d’investissements pour la reprise de la croissance économique.
En plus de réparer les dommages causés par la COVID-19, ce plan a pour objectif de soutenir les investissements et de générer des emplois.
