Selon la porte-parole du FMI Julie Kozack, la responsable rencontrera les autorités angolaises, des entrepreneurs et des étudiants lors de son passage à Luanda.
Le déplacement en Afrique inclut également la participation au sommet du G20 – qui réunit les dirigeants des 19 plus grandes économies du monde ainsi que l’Union Européenne – qui se tiendra à Johannesburg, les 22 et 23 novembre.
La visite a lieu quelques jours avant que Luanda n’accueille, à la fin novembre, le sommet entre l’Union Européenne (UE) et l’Union Africaine (UA), rencontre lors de laquelle les investissements européens sur le continent africain et les partenariats dans des domaines stratégiques seront discutés.
Dans ses rapports les plus récents sur l’Angola, le FMI a mis en garde contre des vulnérabilités persistantes, telles que le service élevé de la dette extérieure, la dépendance au pétrole et une inflation élevée.
En septembre, lors de la plus récente évaluation post-programme, le Fonds a révisé à la baisse la prévision de croissance pour 2025, passant de 2,4 % à 2,1 %, et a averti des risques croissants concernant la capacité de l’Angola à honorer le service de la dette, préconisant la prudence budgétaire et la rationalisation des dépenses.
