Le brut de la mer du Nord, référence en Europe, a clôturé la session à l’Intercontinental Exchange à 65,16 dollars, soit une augmentation de 1,10 dollars par rapport aux 64,06 dollars de lundi.
Le Brent a ainsi maintenu son élan haussier, particulièrement depuis jeudi, lorsqu’il a atteint 62,96 dollars.
Les analystes attribuent cette hausse à l’impact des sanctions américaines sur les principales compagnies pétrolières russes, qui commencent déjà à se faire sentir sur les opérations de Lukoil en Irak, ainsi qu’aux perspectives positives d’une fin proche de la fermeture du gouvernement fédéral, déjà la plus longue de l’histoire du pays.
